On s’arrête pour…. regarder de haut sa vie. Attention juste regarder, pas juger. Un peu comme un film qu’on déroule. Et tout doucement, on se détache, notre oeil se fait moins sévère sur nous d’abord et sur les autres ensuite ... parce que de toute façon notre pensée finit toujours par ricocher sur les autres. On s’élève, on pardonne à soi. La distance atténue les blessures. Et que découvre t-on? L’ange qui dormait en nous.
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